|
ÉDITO
Débattre ou dialoguer : la CFDT est pour !
La CFDT approuve le principe du débat public, qui est pour elle un instrument du dialogue social. Mais l’enjeu doit être réel et des décisions réelles doivent en découler.
Elle a décidé de s’y investir et d’y pousser ses propositions. « On ne peut pas dénoncer la vision verticale du pouvoir et ne pas se saisir de cette opportunité », rappelait Laurent Berger. Elle encourage les citoyens à s’impliquer dans les quatre grands thèmes par le président de la République (pouvoir d’achat, fiscalité, démocratie et transition écologique).
À l’échelle nationale, elle demande la tenue dès la fin du débat d’un « Grenelle du pouvoir de vivre » rassemblant acteurs sociaux, économiques, territoriaux et associatifs en vue d’aboutir à des propositions concrètes. « Il faut que la décision sociale soit également participative. Si le gouvernement tranche seul, le grand débat n’aura pas atteint ses objectifs. »
Pour le Sgen‑CFDT de l’étranger, le manque de transparence sur l’avenir du réseau d’enseignement français et l’absence de communication des différents rapports qui devaient être communiqués par diverses autorités fin décembre ou début janvier ne laisse pas d’inquiéter.
| |