Présentation de la petite école d’Oran

L’école d’Oran, annexe du Lycée international Alexandre Dumas d’Alger, a ouvert ses portes à la rentrée 2017

Dans sa deuxième année de fonctionnement, le nombre de classes a déjà augmenté dans la petite école d’Oran. Elle accueille cette année 5 classes : une grande section de 19 élèves, un cours préparatoire de 25 élèves, un CE1-CE2 de 23 élèves, un CM1-CM2 de 23 élèves et une sixième de 8 élèves. Elle comptera l’an prochain deux classes supplémentaires avec l’ouverture d’une cinquième et le dédoublement du CE1-CE2.

Une école promise à un bel avenir

petite école d'OranÀ terme, l’extension progressive de l’établissement se heurtera à un manque d’espace et, déjà, certaines activités se déroulent en salle polyvalente, faute de salle dédiée. Dommage, car l’AEFE a mis les moyens en termes de rénovation immobilière et de matériel pour livrer un complexe scolaire accueillant aux jeunes inscrit·e·s.

Les enseignant·e·s ne chôment pas à Oran : une ouverture d’école implique un fort investissement auprès des élèves et également un suivi attentif de sa directrice pour veiller à la qualité des installations, aménagements et compléter le matériel : mobilier divers, labo et paillasses pour la classe de sixième nouvellement créée.

Cette nouvelle école peut compter sur de nombreux·ses enseignant·e·s aguerri·e·s

Fort heureusement, cette nouvelle école peut compter sur de nombreux·ses enseignant·e·s aguerri·e·s : des ancien·ne·s de Pasteur, francophiles dans l’âme, des jeunes au profil très pointu et deux détaché.e.s : la directrice d’école expatriée et un professeur des écoles résident ne ménagent pas leurs efforts.

Questions statutaires

Plusieurs questions statutaires ont retenu l’attention des personnels de la petite école d’Oran : la plupart des professeur·e·s recruté·e·s locaux·ales sont actuellement vacataires et se demandent s’il·elle·s pourront, comme certain·e·s collègues, bénéficier d’un CDI. Il·elle·s s’interrogent aussi sur la rémunération des heures de concertation, la possibilité de bénéficier d’une prime pour les néo-recruté·e·s et enfin sur la possibilité d’un accès facilité à l’obtention d’un visa en tant qu’agents du LIAD. L’ensemble des personnels se demandent enfin si le poste de résident en grande section non pourvu sera maintenu. Sur toutes ces questions, la proviseure, Madame Gimenez, que le Sgen-CFDT a rencontrée ensuite à Alger, a apporté une réponse.

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